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mardi 27 janvier 2015

In LOVE : une interview pour Ce feu qui me consume

Fabien Clavel Camille Brissot et moi-même, nous vous avons concocté quelques surprises pour vous faire patienter jusqu'à la parution de nos romans (le 18 mars,k notez bien la date!). Parmi lesquelles, du karaoké (Fabien chante très bien "I am too sexy") et une démo de gangnam style, mais en attendant, voici une interview... 

Si vous deviez choisir trois mots pour définir votre roman ?
 Vitesse. Douleur. Passion.

Quelle musique faut-il écouter en lisant votre roman ?
De la pop. Du tango. De l'opéra. Et quand même, parce que  c'est Freddie Mercury, parce que je l'ai écoutée en boucle en écrivant la fin : The Show Must Go On.



S'il fallait une image pour décrire l'atmosphère de votre roman, que serait-elle ?



Que doit-on emporter pour lire votre roman ?
 Un paquet de mouchoirs en papier, un lecteur MP3 pour la bande-son, du chocolat et un verre de Prosecco (ou de jus de pomme pétillant...)!


Qu'est-ce que  qu'une bonne histoire d'amour ?
Peu importe qu'elle finisse bien ou mal, il faut qu'elle me prenne aux tripes.
Peu importe la forme, du moment que je ressens un écho.
Lorsque je suis plongée dans une "bonne histoire d'amour", suis capable de pleurer, rire, vibrer avec Cyrano, Hermione (de Racine, même si j'adore celle de J.K. Rowling... et en parlant d'elle...), Snape d'Harry Potter donc, Kurt de Glee, Violetta/Marguerite...Ou encore, Cal et Sand, dans le très beau La Symphonie des abysses, de mon amie Carina Rozenfeld (hop! page de pub!)... ou le film Jeux d'enfants.

Pourquoi avoir choisi de vous inspirer de  La Dame aux camélias
Au départ, parce que j'avais envie de travailler autour de La Traviata, opéra que j'ai vu en version filmée quand j'étais petite, et qui m'a profondément marquée. Et puis, j'étais dans une période Dumas (père et fils).  Donc, j'ai lu La Dame aux camélias, j'ai pleuré comme une madeleine, pris des notes comme une malade, et surtout, je me suis rendu compte que j'adorais le personnage de Marguerite/ Violetta, que c'était elle le moteur du roman et surtout, qu'elle me touchait profondément. Voilà.

Pour voir les réponses de Fabien Clavel et Camille Brissot, cliquez ici et !

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