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lundi 25 janvier 2016

Titre énigmatique, pour des animaux fantastiques.

Page blanche ou presque. Par où commencer ? Quel langage adopter ?
Ca part comme un truc rimé, mais ça rime peut-être à rien de parler
d'un autre monde et d'autres sens avec  des alitérations,
vu que ce que je veux exprimer, ce sont des émotions et de la passion.
Slam équestre, je sais pas si ça existe, si ça s'écrit ou se crie (se hennit)!
Mes mots sont terriblement pauvres, je me sens démunie,
pour décrire cet apprentissage en miroir sans artifice ni mensonge...

D'ailleurs, j'arrête, je n'y arrive définitivement pas. Enfin, peut-être pas définitivement, mais pas ce soir. bref, je voulais vous dire quelques mots aux sujet des chevaux. J'ai l'impression de me socratiser à mesure que je progresse. Oui, je sais, quel est le rapport entre... 





et




La philosophie! L'apprentissage de la sagesse - "toute ce que je sais, c'est que je ne sais rien"... ou doute socratique, à mesure que l'on progresse vers le but recherché (ici, la découverte du monde des chevaux). La connaissance de soi - "connais-toi toi-même", le plus difficile, puisqu'il s'agit d'une remise en question sans fin... (reconnaître ses failles, les accepter, rechercher l'équilibre...), ainsi que la reconnaissance de l'autre et de ses différences. Plus difficile puisqu'il est cheval, culturellement "au service de", d'accepter le dialogue avant de chercher la soumission. De trouver l'équilibre, sachant qu'il ne sera jamais parfait, mais toujours "sur le fil". Et enfin, l'étonnement - chaque fois qu'ils m'apprennent ou m'enseignent quelque chose (parfois, un simple regard suffit; parfois, il s'agit d'un moment partagé ; et parfois, il faut un médiateur pour mettre le doigt là où c'est merveilleux). 
Voilà. 
J'aurais dû appeler cet article "mes chevaux sont philosophes" ou "chevaux et maïeutique"... 


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