C'est rarement soudain. Ça arrive après une longue maturation. Des semaines, des mois. Avant, on n'était pas trop fragile, trop vulnérable ou trop en colère. Et on porte ces décisions pas très mures dans un coin de son cerveau, on les triture, elles nous torturent. Et puis, ces décisions sont souvent synonymes de conflits, paroles blessantes, culpabilité.
Et puis, ça s'accélère : causes extérieures, incompétence des uns, immaturité des autres, lassitude ou désintérêt... Et on se dit que c'est le moment. De dire stop. pause. Suffit. On discute ? Ou pas.
Et on se sent bizarrement mieux, après.
Et sinon, rien à voir mais comme c'est l'automne, l'amour de ma vie a mis mon site à jour!
oui je suis un saisonnier :)
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