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jeudi 27 octobre 2011

I - Le Bateleur



Oui, c'est ma nouvelle idée bloguesque : un arcane majeur par semaine. Et promis, ce n'est pas à cause de la prochaine sortie de Matricia. Enfin, pas seulement.
Le premier de tous, donc. Le Bateleur. Toutes les "cartes" en main  coupes, bâtons, épées et deniers, tous les éléments aussi. Reste à apprendre à s'en servir. 
Avec Le Bateleur tout reste possible, à chacun de se donner les moyens de réaliser ses rêves. le Bateleur a quelque chose d'américain - self made man, american dream, capitalisme. "Si tu veux tu peux", et j'en passe. le genre à se transformer en tyran (L'Empereur), à regarder ses pieds, son porte-monnaie, son égo et se conforter dans un schéma de pensée (politique, économique, social) à vomir. "Si tu ne peux pas, c'est que tu ne veux pas vraiment." Pas d'excuse.
Avec Le Bateleur, il y a aussi du vrai positif : avoir toutes les cartes en main, c'est être capable de regarder, d'observer, de questionner (quel chemin emprunterai-je?) et sans aller jusqu'à se transformer en sage (L’Ermite), tout le monde n'a pas la vocation après tout, du moins s'efforcer de faire de son mieux et de mener se sprojets à bien sans nécessairement écraser les autres (Le Chariot).
Avec Le Bateleur, quand on prend un peut de recul et qu'on saute du coq à l'âne, du symbole aux hommes et des hommes au monde, on se dit qu'il y a eu comme un couac quelque part : tout était possible, les conditions étaient réunies pour prendre un vrai nouveau départ : élire par exemple un(e) vraie(e) candidat(e) à peu près PS aux primaires, non pas un  type qui apprécie DSK, n'envisage ni la sortie du nucléaire ni celle réellement de la HONTE (humaine, sociale, culturelle, etc.) actuelle ; considérer notre planète en termes de "vivant" et non de chiffres, ne pas répéter les mêmes erreurs, les mêmes horreurs, éviter de se crasher dans un mur. 
Il y a eu comme un couac, oui. L'Empereur, patriarche dominateur, égoïste et tyrannique est passé par là, et ce n'est pas beau à voir.

dimanche 23 octobre 2011

Nouvelles chroniques pour Nuit tatouée, interview, etc.

Une chronique dans Les lectures de Mylène, une autre sur Bookenstock, une troisième sur le blog de Bit-lit.com...  eEt puis, sur ya-book jusqu'à demain soir un concours pour gagner des exemplaires du roman, ainsi qu'une interview. Les curieux pourront également y trouver une interview de Thierry Lefèvre, directeur de Galapagos... A noter sur le site de mes premières lectures, "jumeau" de yabook, un concours pour gagner L'Eau des Anges de Béatrice Egémar, premier opus de sa trilogie Galapagos.
Et je ne sais pas pourquoi mais mon petit doigt me dit que la semaine prochaine, ce sera Avant les ténèbres, de Nicolas Cluzeau, qui sera à l'honneur sur la toile...

Bonne semaine à tous!

vendredi 21 octobre 2011

Collection Frissons, chez Sirius

Rééditer les textes classiques, méconnus, plein de poussière sur les vampires, mettre en valeur les classiques en les proposant dans une collection de poche accessible à tous, c'est l'ambition de la collection Frissons, chez Sirius. Et au cas où vous l'ignoriez, c'est Fabien qui est chargé des couvertures. Voici les deux dernières, l'une pour La femme vampire, de E.T.A Hoffmann, vient de paraître. Vous pouvez baver sur la couv ci-dessous...



L'autre présentera messieurs Alexis Tolstoï et Alexandre Dumas (fils)...


jeudi 20 octobre 2011

Une entrée sur le blog de Psyché

... qui écrit , agit, je vous le laisse découvrir. Un rendez-vous le 4 novembre ? Je ne sais s'y j'y serai. J'essaierai. En attendant, par pitié, cessez de baisser les yeux quand vous croisez un désespéré, même si vous n'avez rien à lui donner. parfois, un mot suffit. Bonjour, désolé. Un sourire. Juste parce qu'ils sont humains, eux aussi. Quoi qu'en disent certains politiciens... 
Voici ce que Psyché écrit : 

Une ancienne entrée de blog, initialement postée sur myspace, remontée dans les souvenirs et que je fais remonter par ici. Je n’en suis pas fière. La scène n’est pas belle, pas propre, pas nette. Pas de happy ending, et pas de fin, puisque tout cela s’amplifie.
C’était en 2010. Nous sommes en octobre 2011, et un brave maire UMP poursuit gaiement sa guerre aux pauvres, mettant à l’amende les glaneurs de poubelles. Elle est où, la saleté ?
Nous sommes en octobre 2011, et quatre militaires déployés en rose des vents, mais sans fleur au fusil, guettent à l’entrée du métro. Il y a un nombre incroyable ces jours-ci de cars de crs alignés le long des grands axes. Des caméras partout, et, comme me l’avouera une employée de la ratp, prêtes à s’assurer que les agents font leur travail, virent les mendiants, ces indésirables. « Ca ne m’amuse pas, mais je n’ai pas le choix, on est surveillés. » Les mendiants gênent le regard, gênent le passage en gare St-Lazare. Moi ce sont les pubs qui m’écorchent le regard, mais le marketing prolifère, et tous les matins, à l’heure de pointe, tandis que la bête à la Zola avale sa moisson de travailleurs au rythme de digestion de l’escalator, un embouteillage se crée autour des distributeurs de presse gratuite et d’échantillons promotionnels (les jours de sortie du catalogue Ikéa, c’est carrément la foire d’empoigne, sérieux). Je repense à Article XI, à la terrifiante analyse des luttes territoriales en gare du Nord :
Et j’apprends en ce même mois que le cercle de silence qui devait se fonder à La Défense est compromis. Motif : la société qui gère l’espace local n’a pas approuvé la présence des soutiens aux sans-papiers. Motif : « ce type de manifestation n’étant pas compatible avec la dynamique d’animations que nous souhaitons développer ». Ah bah forcément, c’est pas très animé un cercle de silence, zéro divertissement. Je google par curiosité (cette grande cause de mortalité féline) le nom de Defacto, la société en question. Ah, ils ont un site – et « l’ambition de l’excellence ». Je clique sur l’onglet ‘événementiel’ : « Pour un tournage de film, une opération de street marketing ou une manifestation culturelle ou publicitaire, La Défense vous accueille. » Ah, yes. Le marketing oui, l’humanité non. C’est fou comme je me sens accueillie, là d’un coup.
(Me demande comment ils accueilleront cette dynamique d’animation, à La Défense, tiens, la semaine prochaine. Héhé…)
Bon. Assez retardé. Vous connaissez le tableau. Le souvenir d’une scène ‘de détail’, donc, et qui fait toujours mal à cette heure.
Scène de la vie parisienne.
Setting : train de banlieue, fin d’une énième journée de labeur. Blottie contre la fenêtre, je bave sur mon bouquin – littéralement, rattrapée , acculée, assommée par la fatigue après mes jours à vélo et mes nuits sur l’ordi.
Un éclat de voix me tire du truc. Assez violent pour avoir passé la musique du mp3, et les murmures de Morphée. J’ouvre un oeil.
Un type est en train de balancer un journal à la gueule d’un cadre assis. Le cadre ne réagit pas, si ce n’est en rentrant un peu plus les épaules.
Regard circulaire. Je n’en croise pas, justement, de regards. Le monde est très occupé à regarder – à ne regarder rien, pourvu que ce soit ailleurs. Le monde s’applique à ne rien voir.
Focus sur l’énervé qui s’est retourné pour interpeller le reste de la rame. Je laisse glisser les écouteurs – « même pas un centime », que je me prends dans les oreilles. Le type avance, hurle qu’il en peut plus, et que personne n’en a rien à foutre, flingue la société, le métro boulot dodo et sa cohorte de lâches et d’indifférents, « je suis un bon à rien ?!? c’est vous les bons à rien, juste bons à attendre les vacances, et elles viendront même pas vos vacances, on vous les prendra et vous ferez rien, et moi j’ai faim, et vous faites rien, j’en peux plus, bande de bons à rien »

L'intégralité du blog de Psyché se lit sur ce lien.

mardi 18 octobre 2011

De l'importance des pieds

Je vous promets, rien à voir avec les chaussures dont je suis certes très friande. Plutôt avec la lâcheté ordinaire, les petites mesquineries du quotidien qui font qu'on détourne la tête quand un SDF demande de l'argent, qu'on préfère éviter de se mouiller, se faire remarquer, prendre des risques, qu'on vote Hollande le conformiste - c'est un homme il rassure - et, finalement, qu'on évite de regarder le monde tomber en regardant ses pieds. C'est une petite mésaventure sans importance qui m'est arrivée mercredi dernier, sur la ligne 4, direction Porte d’Orléans. La rame est bondée, genre il est 9H, tout le monde va bosser, étudier, etc. Tout autour de moi, des regards courroucés sur un type d'une vingtaine d'années, peut-être un peu moins, vêtu d'un pseudo-bombers démodé, cannette de coca 0% à la main et casquette vissé au crâne. Le branleur en question, pas concerné par la foule et les consignes de bienséance relatives au strapontins en cas d'affluence, est avachi sur ledit, la mine  renfrognée (j'allais dire "bovine" mais les bœufs sont souvent mignons). Gentiment, je lui demande de se lever parce qu'il y a du monde. "Ben pourquoi ?" "Ben parce que c'est la règle." Et je lui désigne le petit texte collé contre la paroi du wagon. "Ah ouais." Rien de plus. Je hausse un sourcil, jauge la foule. Les regards courroucés le demeurent, mais les passagers sont muets. Sauf un, juste à côté du branleur. Un grand type costaud qui me chuchote : "Je descends à la prochaine." "Heu... OK, mais je ne vois pas le rapport..." "Je descends à la prochaine" me répète-t-il, yeux sur des pieds qu'il peine à apercevoir. Je comprends que cela signifie : "Je suis d'accord avec vous mais je ne veux pas m'en mêler, c'est un JEUNE vous comprenez... " 
Le "jeune", donc, espèce dangereuse s'il en est, est descendu en même temps que lui, à Saint-Michel... Et moi, je me suis dit que j'étais bien conne. J'aurais dû pousser le lâche, m'avachir à côté du gamin et sortir mon bouquin d'un air bougon. Personne n'aurait rien dit. Contre le bouquin, peut-être... C'était Les Chroniques de la Fronde. Des fois que ça choque... 

Jeune ET/DONC dangereuse

lundi 17 octobre 2011

Nuit tatouée, extrait en ligne...

... mais pas seulement, puisqu'en cliquant sur les couvertures de Avant les ténèbres de Nicolas Cluzeau et L'Eau des anges de Béatrice Egémar, vous pourrez également découvrir leurs univers (et je vous les conseille)!
Pour Nuit tatouée, c'est par ici
Promis, j'essaie de revenir avec un billet plus personnel très bientôt.

jeudi 13 octobre 2011

Nuit tatouée : chroniques et dédicaces

Nuit tatouée est sortie hier, en compagnie de Avant les ténèbres (Nicolas Cluzeau) et L'Eau des anges (Béatrice Egémar). Depuis quelques jours, je reçois d'excellentes chroniques de ce roman. Je vous les livre... Les chroniques de Mélisande, Un brin de lecture relayée Livre-addict et Paperblog (merci Karline!), Elbakin.net... et je viens d'apprendre que Nuit tatouée est également coup de coeur YA Book (nouveau site consacré à la littérature young adults) !

Je profite de cette avalanche de belles critiques pour vosu annoncer mes deux prochaines séances de dédicaces :

Samedi 15 octobre, de 16H à 18H, à la librairie Tome Dom, 81 rue Saint-Dominique, 75007 Paris en comagnie de mes complices de plume Béatrice Egémar et Nicolas Cluzeau.

Samedi 5 novembre, à la librairie l'Antre-monde, 142, rue du Chemin vert, 75011 Paris à partir de 15H en compagnie de... Mélanie Delon herself!

lundi 10 octobre 2011

Ca faisait longtemps...

URGENT RÉAGIR:



Madame CHEN



Mère de deux enfants, scolarisés en France, vit depuis 10 ans en France. Elle a été arrêtée dans son restaurant à Poitiers il y a un mois et envoyée en centre de rétention. Sa demande de carte de résident a été refusée et a été suivie d'une OQTF.

Libérée, elle a été assignée à résidence et allait régulièrement signer au commissariat. Ce matin elle a de nouveau été arrêtée et doit être expulsée aux alentours de 22 H.

les enfants sont sur Poitiers.

Le papa est régularisé en Italie où il travaille. Il a obtenu une régularisation rapprochement familial pour son fils aîné qui vit à Poitiers avec sa mère et il est scolarisé.

Cette famille vit éclatée géographiquement, elle est maintenant menacée de démembrement.

Que va devenir la petite fille sans sa mère? Elle est née en France il y a 3 ans.



Pour manifester votre opposition à cette expulsion, faxez, mailez à la préfecture de la Vienne!



yves.dassonville@vienne.pref.gouv.fr

jean-philippe.setbon@vienne.pref.gouv.fr

paquita.bannier-gauthier@vienne.pref.gouv.fr

stephane.jarlegand@vienne.pref.gouv.fr



Télécopie : 05.49.88.25.34





claude.gueant@interieur.gouv.fr

stephane.bouillon@interieur.gouv.fr

pierre.regnault-de-la-mothe@interieur.gouv.fr

christophe.reynaud@interieur.gouv.fr



et aussi :

Là où se prennent les décisions
Elysée : 01 42 92 81 00

Elysée fax : 01 47 42 24 65
http://www.elysee.fr/ecrire/index.html

Maxime Tandonnet (conseiller immigration) a été viré. Il n’a officiellement pas de remplaçant mais Guillaume Larrivé est de retour depuis mars : longtemps conseiller immigration de Sarkozy (avec Tandonnet) au ministère de l’intérieur. Il connait bien et n’aime pas le réseau. Raison de plus pour se rappeler à son bon souvenir : guillaume.larrive@elysee.fr

Mais aussi au Conseiller spécial Henri Guaino henri.guaino@elysee.fr

et au secrétaire général xavier.musca@elysee.fr



Secrétariat général à l’Immigration :

Fax: 01 77 72 61 30 et 01 77 72 62 00 Standard 01 77 72 61 00
Secrétariat général secretariat-general@immigration-integration.gouv.fr

Secrétaire général : stephane.fratacci@immigration-integration.gouv.fr 01 77 72 61 65

Directeur de cabinet : gautier.beranger@immigration-integration.gouv.fr 01 77 72 62 66

Chef de cabinet : charlotte.orgebin@immigration-integration.gouv.fr 01 77 72 62 40



guillaume.larrive@elysee.fr; henri.guaino@elysee.fr;xavier.musca@elysee.fr; claude.gueant@interieur.gouv.fr;stephane.bouillon@interieur.gouv.fr;georges-francois.leclerc@interieur.gouv.fr;

henri.zeller@interieur.gouv.fr;christophe.reynaud@interieur.gouv.fr; secretariat-general@immigration-integration.gouv.fr; stephane.fratacci@immigration-integration.gouv.fr; gautier.beranger@immigration-integration.gouv.fr; charlotte.orgebin@immigration-integration.gouv.fr







Thyssina (13 ans), Elaura (15 ans) et leur mère Brigitte Vigoureux sont toujours bloquées au Congo. Elles doivent rentrer à Paris MAINTENANT !

La Belgique ayant déclaré « de nationalité indéterminée » Brigitte Vigoureux et ses filles Thissyna et Elaura, celles-ci sont bloquées depuis le 12 juillet à Pointe-Noire, au Congo Brazzaville, sans papiers d’identité. Elles ne peuvent rentrer à Paris, où elles résident et où sont scolarisées dans le 13ème arrondissement Thyssina – au collège Georges Sand – et Elaura – au lycée Claude Monet. Ces deux enfants ont raté la rentrée scolaire et perdu un mois des programmes.

Thyssina a eu 13 ans le 5 octobre. Triste anniversaire pour cette enfant, qui l’aura passé loin de sa vie et de ses deux sœurs aînées, Victor et Amara qui, seules à Paris, attendent le retour de leur mère et de leurs petites sœurs.

Elaura est en cours d’acquisition de la nationalité française. Elle a rendez-vous le 12 octobre avec sa mère à la préfecture de Paris pour retirer son certificat de nationalité, et ne pourra s’y rendre. De toute façon, Brigitte doit fournir une pièce d’identité que lui refusent les autorités belges !

Malgré les multiples interventions d’élus, de syndicats enseignants, de citoyens, auprès des ambassades de Belgique en France et au Congo, rien ne bouge.

CELA SUFFIT ! THISSYNA, ELAURA ET LEUR MERE DOIVENT RENTRER AU PLUS VITE

Nous leur réaffirmons notre solidarité !

MERCREDI 12 OCTOBRE 2011
Pour qu’elles rentrent
RASSEMBLEMENT A 16 H
Devant l’ambassade de Belgique
9, rue de Tilsitt – 75017 Paris (m° Charles de Gaulle-Etoile)
RDV à l’angle de la rue de Tilsitt et de l’avenue Mac Mahon

Et toujours, la pétition à signer en ligne : http://resf.info/article38830.html. Plus de 600 signatures en une semaine, atteignons les 1000 pour montrer aux autorités belge notre détermination à voir revenir Thissyna, Elaura et leur mère.
Plus d’infos sur le blog RESF de Mediapart : http://blogs.mediapart.fr/blog/resf/021011/histoire-belge-histoire-francaise-histoire-kafkaienne

Contacts presse:
Marc Naelten (RESF Paris 5-13) : renaud-naelten@orange.fr 06 79 54 03 33
Daniel Cassiaux (collège George Sand) : 06 87 09 18 97
En Belgique : Nathalie Fessol : nath.edme.fessol@gmail.com 0032 2 763 02 09


samedi 8 octobre 2011

Prix Imaginales des Collégiens

Je ne pouvais l'annoncer plus tôt officiellement pour cause d'Internet fluctuant mais voilà.... Je suis fière d'apprendre que Nuit tatouée a été retenu pour faire partie de la sélection du Prix Imaginales des Collégiens 2012. Voici le lien explicatif vers la page du site des Imaginales.

Et la sélection entière : 

Charlotte Bousquet, La Nuit tatouée (La Peau des rêves, 1), L’Archipel
Marie Caillet, L’héritage des Darcer, Michel Lafon
Nadia Coste, Les Rives du monde (Fedeylins, 1), Gründ
Christophe Lambert & Sam Vansteen, La Fille de mes rêves, Syros
Guillaume Lebeau, Banquises de feu (La saga de Sakari, 1), Rageot
Jean-luc Marcastel, Le Dernier hiver, Hachette

Je n'ai lu, dans la sélection, que Banquises de feu de Guillaume Lebeau - j'en avais fait une mini-chronique ici... Il ne me reste plus qu'à rattraper mon retard de lecture d'ici mai!!!