tag:blogger.com,1999:blog-2710097764083574625.post5798042233021883713..comments2023-12-15T16:55:44.454+01:00Comments on Blog de Charlotte Bousquet: Un pont entre les genresCharlotte Bousquethttp://www.blogger.com/profile/12278375545393035478noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-2710097764083574625.post-78284114477056339122018-03-14T17:58:46.456+01:002018-03-14T17:58:46.456+01:00Oui, je crois que c'est le cas de Vango, par e...Oui, je crois que c'est le cas de Vango, par exemple. En Allemagne, je sais que Simpel (= Simple) de Marie-Aude a été "retraité" de la même façon et la nouvelle couverture reprend l'affiche d'un film que les Allemands en ont tiré, fin 2017. La polyexploitation d'un roman (BD, téléfilm ou film) favorise l'effacement des frontières assignées au lectorat.<br />Pierre-Michel Roberthttps://www.blogger.com/profile/03220672740100157545noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2710097764083574625.post-30283956132297146492018-03-14T15:50:32.176+01:002018-03-14T15:50:32.176+01:00oui, tout à fait d'accord. D'autant que je...oui, tout à fait d'accord. D'autant que je suis sûr que pour certaines reprises en poche, on change la couverture et on trouve ça dans des rayons "adultes". Ou encore, comme Harry Potter en son temps, on le trouve dans les deux avec une couverture différente. Bref, c'est une situation paradoxale pour une catégorie qui est sensé briser les murs de se retrouver souvent enfermée. Fabien Fernandezhttps://www.blogger.com/profile/18397672029372841643noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2710097764083574625.post-25154663057458770182018-03-14T15:20:32.258+01:002018-03-14T15:20:32.258+01:00Le "young adult" est-il un genre ou un t...Le "young adult" est-il un genre ou un type de lecteur ? Parmi les "jeunes adultes" j'en connais qui sont restés fidèles à un auteur de leur enfance, qui ont grandi avec lui, à moins que ce ne soit l'auteur qui ait grandi avec eux. Il y a sûrement aussi, comme vous le dites, l'idée de créer un pont, là où il y avait un mur, entre la LJ et "l'autre", celle à laquelle un auteur jeunesse "pure player" n'arrive pas à -ou ne veut pas - donner de nom. Il y a aussi la volonté, plus ou moins consciente de la part de l'éditeur, de jouer un peu dans la cour des grands, espérant un jour être invité à La Grande Librairie, comme les "autres". De (dé)montrer que la LJ c'est de la "vraie" littérature tant le dédain des médias pour elle, en France du moins, est grand. Franchir le pont, mais aussi traverser le plafond de verre, les images ne manquent pas, que convoque cet anglo-saxonnisme, un peu snob parce qu'il recouvre peut-être un complexe de désirs et de frustrations qu'on préfère ne pas nommer directement en français.Pierre-Michel Roberthttps://www.blogger.com/profile/03220672740100157545noreply@blogger.com